Tu te rappelles la première partie sur Demi Moore et son fameux baiser controversé avec Philip Tanzini? Si tu ne l’as pas encore écoutée, arrête tout de suite de lire, va écouter ça, et reviens après. Pas parce que je veux te faire peur, mais parce que tu vas manquer des bouts importants sur le contrôle mental et les bases du MK-Ultra (document de la CIA à l’appui). Ce que je vais te raconter aujourd’hui, c’est comme essayer de comprendre Stranger Things en commençant par la saison 4, ou la Bible par l’Apocalypse : il va te manquer des boutes.
Dans cette deuxième partie, on plonge dans The Substance, un film où Demi Moore incarne littéralement une bataille entre deux versions d’elle-même. Et tu sais quoi ? Ce n’est pas juste une belle métaphore de cinéma. Ce film met en lumière ce qui se passe réellement dans l’industrie du divertissement : des alter egos qui prennent toute la place, des célébrités qui perdent leur identité, et des transformations physiques imposées. Parce que oui, Hollywood ne veut pas juste leur âme, il veut aussi leur corps. La jeunesse et la beauté sont valorisées au point où les stars doivent passer par la chirurgie pour rester pertinentes. Michael Jackson et ses multiples transformations en sont un exemple extrême, mais combien d’autres se sont détruits pour se conformer à ce modèle toxique ?
L’industrie ne tolère pas ceux qui choisissent de rester fidèles à eux-mêmes.
Un film qui en dit plus qu’il n’en montre
Dans The Substance, Demi Moore joue Elizabeth, une star vieillissante remplacée par une version plus jeune d’elle-même grâce à une mystérieuse substance. Ça te fait penser à quelque chose ? Oui, Hollywood a une obsession maladive pour la jeunesse et la beauté, les chirurgies et la perfection inateignable (sauf peut-être grâce au transhumanisme?) mais ce n’est pas tout. Ce que ce film illustre surtout, c’est la dualité : deux personnalités, deux versions d’une même personne, et un combat intérieur qui finit par engoutir l’originale.
Quand on regarde ça de plus près, on se rend compte que ce n’est pas juste un thème de science-fiction. Les célébrités comme Beyoncé (avec Sasha Fierce), Michael Jackson (avec son Moonwalker) ou même Marie-Mai, qui chante Elle et Moi, nous montrent ces alter egos en plein jour. Mais la vraie question, c’est pourquoi ? Pourquoi une industrie entière pousse ses stars à créer ces doubles identités ?
Alter egos : un symbole ou une réalité ?
Beyoncé a elle-même déclaré que Sasha Fierce prenait le contrôle sur scène. C’est comme si elle devenait une autre personne. Mais est-ce juste une stratégie pour gérer le stress, ou est-ce que ça va plus loin ? Dans le cas de Marie-Mai, ses paroles – « J’ai besoin d’elle pour être moi » – font écho à ce genre de dualité. Et ce n’est pas juste limité à ces artistes. Michael Jackson, avec ses performances quasi mystiques, et Prince, avec son aura énigmatique et ses alter egos scéniques, sont des exemples frappants. Leurs prestations, souvent accompagnées de tambours et d’une intensité presque vaudou, captivaient les foules d’une manière qui semblait surnaturelle. Ces artistes ne faisaient pas qu’interpréter une chanson, ils entraient littéralement dans une autre dimension – une zone grise entre l’humain et l’invocation spirituelle. “Emmène-moi plus loin qu’un monde imaginaire, emmène moi dans un autre univers”.
Hollywood a une façon bien à elle de glorifier ce genre de concept. Avec des œuvres comme Wicked ou The Substance, l’idée de rejeter son vrai soi pour adopter une version "idéale" est partout. Mais en y réfléchissant, ça va directement à l’encontre de ce que Dieu nous enseigne : l’importance de rester fidèle à qui on est, à qui Il nous a créés pour être, pas à qui l’ennemi nous convainc que nous pouvons devenir.
Les ‘glitch” et transformations MK Ultra en plein-jour
Les célébrités sont souvent observées pour leurs comportements intrigants, notamment lorsqu'elles semblent manifester des changements de personnalité en public. Par exemple, lors d'une interview avec E! News, Ariana Grande a surpris ses fans en adoptant une voix nettement plus grave que celle à laquelle ils étaient habitués, suscitant des interrogations sur sa véritable tonalité vocale. De même, Cardi B a été filmée figée sur le tapis rouge des Grammy Awards, une immobilité soudaine qui a intrigué les observateurs. Paris Hilton, quant à elle, a révélé qu'elle utilisait une voix plus aiguë devant les caméras, différente de sa voix naturelle, illustrant une distinction entre son personnage public et sa véritable identité. Lors d'un match de basket, Beyoncé a été vue se balançant de gauche à droite, un comportement qui a suscité des spéculations sur son état à ce moment-là. Enfin, Taylor Swift a opéré une transformation notable entre son image d'avant et celle adoptée lors de l'ère "Reputation", marquant un changement significatif dans sa présentation artistique.
Ces exemples soulèvent des questions sur la pression exercée sur les artistes pour adopter différentes facettes ou personnalités, que ce soit pour répondre aux attentes de l'industrie ou pour protéger leur vie privée.
La vengeance et Wicked : une rébellion contre Dieu
En parlant de Wicked, saviez-vous que ce film explore le point de vue des "méchants" ? Comme si on essayait de nous convaincre que la méchanceté est justifiable. Ariana Grande, qui a participé à cette œuvre, représente cette tendance à romantiser la rébellion et la vengeance. C’est partout : dans les paroles de Taylor Swift, Look What You Made Me Do, Anti-Hero, I Did Something Bad et j’en passe, les chansons pop qui glorifient le pouvoir personnel, et même dans les films de Disney (Libérée, Délivrée, on te regarde).
Mais attention : la Bible est claire là-dessus. La vengeance n’appartient qu’à Dieu. Et quand on commence à faire de la rébellion une vertu, on s’éloigne dangereusement de l’amour inconditionnel qu’Il nous offre. L’amour qui pardonne tout, même son pire ennemi (contrairement à toi Taylor…)
La religion du petit-dieu : une menace spirituelle et prophétique
Dans notre époque moderne, on voit émerger une mentalité centrée sur le "petit-dieu" : cette idée que chacun peut être son propre maître, son propre créateur, comme si la divinité se résumait à une simple introspection. Des paroles de Marie-Mai comme "Je fais mes lois, je décide" ou "Mon chemin je le dessine, je le fais comme je le vois" reflètent parfaitement cette philosophie. C'est séduisant en surface, mais cette doctrine de "fais ce que tu veux" a des racines bien plus sombres, proches de la loi prônée par Aleister Crowley : "Fais ce que tu voudras sera toute la loi." Hitler a fait tout ce qu’il voulait…
Cette idéologie ouvre la voie à une religion mondiale prophétisée dans l’Apocalypse, un système unifié sous le reigne de l’Antéchrist, où l’humanité trouverait une cause commune pour s’unir, comme une menace extérieure ou une crise globale. Apocalypse 13:7-8 nous avertit que "toute autorité lui fut donnée sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation. Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie."
Mais cette religion universelle n’apporte pas la paix qu’elle promet. Trump s’auto-proclâme le Prince de la Paix… Mais le réel Prince de Pais est Jésus Christ et cette paix n’est pas une paix extérieure, mais une paix intérieure malgré la tempête. En rejetant Dieu pour se tourner vers une divinisation de soi, on célèbre l’arrogance et la fierté personnelle. Pourtant, la Bible nous appelle à un autre type de confiance : celle qui vient de la victoire de Christ. Comme Luc 10:19 nous le rappelle, Jésus nous donne "le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l’ennemi." Ce n’est pas une confiance basée sur nos propres forces, mais sur la puissance divine qui agit en nous.
Se faire confiance, oui, mais pas à partir d’une place d’orgueil. Se fier à soi avec humilité, sachant que c’est en Jésus que se trouve la vraie victoire. Voilà la clé pour éviter les pièges du "petit-dieu" et marcher sur le chemin de la lumière divine.
Un autre chemin : l’amour de Dieu
Alors, pourquoi je te raconte tout ça ? Parce que, contrairement à ce que Hollywood veut nous faire croire, tu n’es pas condamné à suivre ce schéma. Tu n’es pas un pion dans un jeu d’échecs géant, manipulé par une main cachée. En Jésus, il y a une liberté authentique, loin des illusions et des alter egos fabriqués.
Ce que The Substance et Wicked essaient de normaliser – cette idée qu’on doit renier notre vraie nature pour "réussir" ou qu’on doit se rebeller pour exister – est en réalité une tromperie. Dieu t’a créé unique, avec une identité qui Lui appartient, et Il t’offre un amour qui ne dépend pas de ce que tu fais ou de ce que tu sembles être.
Et toi, dans tout ça ?
À chaque fois que tu vois un artiste avec un alter ego, ou que tu écoutes une chanson qui prône l’égoïsme ou la vengeance, pose-toi cette question : est-ce que c’est vraiment ça, la liberté ? Ou est-ce que c’est une autre chaîne, déguisée en or ?
Hollywood peut glorifier les "méchants" autant qu’il veut, mais la vraie rébellion, c’est de choisir l’amour de Dieu dans un monde qui te pousse à l’oublier.
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