Demi Moore, jeune actrice montante de 19 ans, échangeait un baiser avec Philip Tanzini, 15 ans, devant des caméras qui s’en lèchent les babines. Mais là où la plupart s’arrêteraient à un jugement rapide selon les mœurs de l’époque, ton fidèle Antoine (hehehe 😎) plonge derrière les apparences pour révéler des vérités plus sombres. Parce que là, on ne parle pas juste d’un bec timide et controversé; on est possiblement en terrain MK Ultra, contrôle mental, manipulation des masses, et Hollywood qui exploite ses étoiles montantes comme des marionnettes.
Hollywood, un théâtre d’ombres
Derrière la façade glamour, on trouve une machine de manipulation de masses. Cette scène entre Moore et Tanzini fait penser à d’autres moments où Hollywood mêle l’innocent et le dérangeant. Pense à la fameuse chanson Somewhere Over the Rainbow du Magicien d’Oz, devenue un symbole central du Monarch Programming (une branche de MK Ultra).
Le “safe space” que cette chanson promet n’est qu’un déguisement pour l’état dissociatif qu’elle induit. Tu te rappelles Demi Moore qui réagit instinctivement à cette mélodie dans l’extrait ? Pas un hasard selon moi, mais MK Ultra, j’te l’dis !
MK Ultra, Monarch Programming et la manufacture des stars
Pour ceux qui sont nouveaux ici, MK Ultra, c’est le projet de contrôle mental des années 50 orchestré par la CIA.
“Le projet MK Ultra est bien documenté comme une série d'expériences sur le contrôle mental menées par la CIA dans les années 1950 et 1960. Ces expériences visaient à étudier des techniques comme l'hypnose, les drogues psychotropes (notamment le LSD), et d'autres méthodes pour manipuler le comportement humain.
L’Opération Paperclip a même permis à des scientifiques allemands douteux de perfectionner ces techniques en sol américain. La programmation Monarch, c’est la cerise sur ce gâteau dégueulasse : elle pousse des célébrités à développer des alter egos pour supporter des traumas inimaginables et se comporter de façon favorable afin d’influencer les masses (surtout nous les fans) dans une direction voulue. Direction qui n’a rien à voir avec le bien-être du bas de la pyramide (la population “at large”).
Michael Jackson avait son Moonwalker, Beyoncé a Sasha Fierce, Katheryn Elizabeth Hudson ne veut plus être Katy Perry et Marie-Mai nous chante Elle et Moi. Simples expressions artistiques ou révélation de la méthode et crits de détresse camouflés?
Le miroir ? Un symbole récurrent du Monarch Programming. Dans l’album Miroir de Marie-Mai, comme dans des hits visuels comme Black Swan, ce motif rappelle la fracture identitaire imposée par cette programmation.
Stranger Things, Captain America et autres reflets du contrôle mental
T’as remarqué les électrodes dans Stranger Things sur la mère d’Eleven ? Ou les mots qui activent le Soldat de l’Hiver dans Captain America: Civil War ? Ce n’est pas que du “divertissement”. Ce sont des fragments de la révélation de la méthode : Hollywood te balance des vérités cachées en pleine face, mais on croit tout bêtement que c’est de la fiction. Dans Un Crime dans la Tête, c’est encore plus direct : on y voit un implant cérébral pour manipuler les souvenirs.
Et là, tu fais le lien. Britney Spears, la reine déchue, un exemple vivant de MK Ultra : rasage de crâne, breakdown public, et la spirale de l’exploitation.
Quand la musique s’en mêle
La chanson Daisies de Katy Perry ou les marguerites dans Stranger Things, c’est pas ‘juste des fleurs’. C’est des symboles en lien avec la dissociation causée par le trauma. Katheryn Elizabeth Hudson, qui a publiquement admis “avoir vendu son âme au diable” (littéralement ou figurativement), est une autre victime de ce système cruel. Son alter ego “Katy Perry” n’est qu’un masque imposé, comme pour tant d’autres.
Pourquoi en parler ?
Parce que l’ennemi se cache là où on ne regarde plus. Les célébrités que l’on vénère sont parfois des victimes, forcées de jouer un rôle, de porter un alter ego pour survivre dans l’industrie. Et même si elles ne sont pas forcément forcés à faire de telles choses, elles sont tout au moins convaincus par leurs agences, ou leurs ‘handlers’, qu’ils disent et font la bonne chose. Pense à Taylor Swift et combien elle semble sincère dans son documentaire Miss Americana. Sincérité n’est pas tout le temps synonyme de vérité…
Il n'y a là rien d'étonnant, car Satan lui-même se déguise en ange de lumière.
Ça fait réfléchir à pourquoi la ville où se cache Hollywood s’appelle Los Angeles.
Mais ce n’est pas une excuse pour fermer les yeux. Ephésiens 5:11 dit : “Exposez les œuvres des ténèbres.” Et c’est ça ma mission.
Faut-il boycotter ? Peut-être. Arrêter d’encourager l’industrie malsaine, prier pour les artistes, que Dieu touche leurs cœurs, et choisir de ne pas participer à ce système. Et surtout, garder les yeux ouverts en laissant l’Esprit saint guider notre discernement.
Regarde l’épisode complet !
Si t’as lu jusqu’ici, c’est clair que t’as besoin d’écouter mon dernier épisode de C’est Même Pas Vrai !. Je plonge encore plus profondément dans cette scène, la symbolique de l’arc-en-ciel, et comment l’industrie manipule nos perceptions. Va écouter ça sur YouTube ou ici même sur Substack. Et sérieux, t’as pas fini de tomber en bas de ta chaise!
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